Revue de presse du 17 novembre 2017

Dernière mise à jour: 22/04/2022 09:02:07

Saad Hariri et ses arriérés français. Le Premier ministre démissionnaire était à la tête de Saudi Oger, un groupe de BTP qui a longtemps fait affaire en Arabie Saoudite et doit encore 14 millions d’euros à des expatriés français. Un sujet qui reviendra sur la table lors de son arrivée à Paris (Libération).

 

Les dilemmes des réfugiés yéménites à l’ombre de la guerre saoudienne. La poursuite de la guerre au Yémen depuis près de trois ans recompose en profondeur les routes migratoires dans la péninsule Arabique. Le conflit a déjà généré un flux de près de 400 000 réfugiés. Ce chiffre a toutes les chances d’augmenter fortement dans les mois qui viennent, en dépit du blocus imposé par la coalition emmenée par l’Arabie saoudite et des restrictions exercées par les potentiels pays d’accueil (Orient XXI).

 

« Le Mali est notre Afghanistan ». Plus l’armée française est engagée dans le pays et plus se renforce le djihadisme armé qu’elle était venue combattre, explique, dans sa chronique, Christophe Ayad, responsable du service International du « Monde » (abonnés).

 

Exfiltration de djihadistes à Raqqa : l'accord arrangeait tout le monde... sauf la France. Oui, des djihadistes étrangers ont pu fuir Raqqa en toute sécurité. Un accord tout sauf surprenant, explique le journaliste Wassim Nasr (L’Obs).