J'ai choisi de passer Noël à Alep là où il y a la guerre, là où il fait froid car l'électricité se fait rare, là où les hommes sont déprimés, fatigués car ils sortent de 5 ans de combats, et même si la ville est pacifiée, les sons réguliers des canons, mitraillettes et autres armes de guerre nous rappellent la fragilité de la paix
Cliquez ici pour lire l'article (L'Orient le Jour)
Ce site utilise des cookies techniques et de profilage afin de vous fournir une meilleure expérience d‘utilisation. Le site permet également l‘envoi de cookies tiers techniques, analytiques et de profilage. Si vous voulez en savoir plus cliquez ici. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l‘utilisation de cookies